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Si, actuellement, c’est par le réseau internet et la génération Twitter protagonistes du Printemps arabe que le monde arabe se donne à voir chaque jour aux yeux du monde entier, il était auparavant décrit aux occidentaux par des écrivains et des artistes qui accomplissaient des voyages longs et éprouvants durant parfois des mois voire des années, ayant souvent des conséquences qui dépassent l’entendement et le cadre strictement littéraire ou esthétique de leur oeuvre, de Nerval à Lamartine, de Chateaubriand à Flaubert.Ce catalogue propose un ensemble de regards croisés entre Orient et Occident en faisant dialoguer des oeuvres du XIXe siècle d’artistes voyageurs (Delacroix et Matisse) avec des oeuvres contemporaines d’artistes occidentaux (Paul-Armand Gette, Charles Sandison, Tacita Dean, Cy Twombly, Douglas Gordon, etc.) et de femmes d’origine iranienne ou libanaise (Mona Hatoum, Shirin Neshat, etc.). Nan Goldin est également présente avec une série de photographies réalisées lors de différents séjours en Egypte en 2003, mises en parallèle avec des clichés anciens célèbres (Pierre Loti) ou anonymes de la Bibliothèque nationale de France, et des objets de la vie intime, quotidienne ou spirituelle du bassin méditerranéen (bijoux, livres enluminés, objets sacrés..).
Dans sa longue quête de paysages et de découvertes de nouveaux horizons, Th.-J.Delaye soumet à la réflexion sa manière de saisir les réalités qu’il appréhende. Il montre la différence entre l’oeil du photographe et celui du peintre. Les regards de l’un et de l’autre diffèrent. (Mohammed An-Nassiri).
« Ces photos sont le résultat d un mois et demi de vie partagée dans les camps de réfugiés sahraouis à Tindouf en Algérie et dans le territoire libéré de Tifariti. L esthétique de ces photos ne doit pas masquer le fait qu elles ne devraient pas exister. Dans les camps de réfugiés sahraouis, la vie se poursuit et se reconstruit chaque jour. Le peuple sahraoui transforme les camps de réfugiés en petites villes où le quotidien se pare des habits de la normalité et où les habitants cultivent des valeurs devenues rares, telles que le respect et la solidarité envers le prochain. (Rogério Ferrari) Existences-Résistances est un alcool fort, dont l’alambic n’a pas de secret , il lui a suffi de vivre avec celles et ceux qui en composent le bouquet. Au bout de ces images, point d’ivresse. Mais un silence. De ces silences que seule la parole des fous et des sages convoque. De ces silences d’après l’effort. Car c’est à un effort que nous invite Rogério Ferrari, à celui qu’il nous faut consentir pour nous hisser à hauteur d’Homme et cesser d’être, pour un temps ou davantage, un spectateur. «
Ce dictionnaire porte sur plus de quatre-vingts années (1917-1999) de production dans les arts plastiques, les arts musulmans et le design. Il présente pour chaque artiste (au total 900 artistes sont répertoriés) une notice biographique, son parcours et sa production artistiques ainsi que des références bibliographiques (ouvrages, articles de presse et filmographie) . L’objectif est de recenser les créateurs, de rendre le champ des arts plastiques plus lisible, sa production plus visible et de permettre aux Algériens de se réapproprier une mémoire fabuleuse et un patrimoine ignoré et oublié. Cet inventaire s’impose en hommage à ces créateurs d’hier et d’aujourd’hui qui, par leur œuvre porteuse d’originalité et de beauté, font entrer l’Algérie dans l’histoire universelle. Diplômé de psychologie (Université d’Alger, Université de Paris-Nanterre) et d’esthétique (Université Paris-Sorbonne), Mansour Abrous, 45 ans, a enseigné à l’Ecole supérieure des Beaux-Arts d’Alger.
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